Slpeen et idéal de baudelaire
CHAPITRE 1/Un destin presque parfait.
Il y avait à PARIS en 1875 un avocat prénommé Jean, c’était un jeune garçon à qui la nature avait donné une identité presque parfaite pour réussir sa vie. A peine vingt cinq ans et le jeune homme se forgeait déjà une réputation brillante, en effet en une année seulement il avait réussi à mettre sous les verrous dix des plus grands criminels de la capitale. De plus Jean était une personne apprécier par tout son entourage, C’était une personne simple et sympathique malgré sa profession, il n’avait aucun préjugé sur les personnes. Jean disposait d’un charisme impressionnant et d’une influence très importante sur les gens qu’il côtoyait, c’est ces caractéristiques qui lui permettaient d’avoir une certaine aisance dans le domaine de la justice et surtout lors d’un jugement. L’avocat vivait seule, non pas parce que il ne trouvait pas d’intéressée mais parce que il ne vivait que pour son travail et rien d’autre. Dans sa vie sentimentale, c’était un vrai Don juan il séduisait les femmes la nuit et repartait le jour au tribunal. Jean n’avait rien n’à envier de personnes et pourtant sa vie va basculer du jour au lendemain. Tout a commencé un certain lundi, alors que jean se rendait a son travail, arriver au tribunal une troupe de police l’attendait, a son commandement il y avait un homme grand et fort au visage sombre, c’était le commissaire tourin, Jean le connaissait bien il avait souvent travaillé avec lui sur des affaires criminels. Ne se doutant pas que cette troupe était venu pour lui il alla saluer le commissaire.
-bonjour monsieur le commissaire comment aller vous?
-Monsieur jean bourrier, vous êtes en état d’arrestation.
-Comment, ce n’est pas possible, cela doit être forcément une erreur.
-non, désolé Jean il n’y a aucune erreur, c’est bien vous que nous devons arrêter.
-A oui, et pour quelle motif ?
-Pour détournement d’argent.
Un malaise profond s’empara de Jean, il était devenu blanc, il