Sociologie politique

517 mots 3 pages
Concurrence des paradigmes

Olivier ihl s’intéresse aux rapports qu’entretiennent les individus avec la politique en général. De part ce texte il cherche à savoir de quelle manière un individu acquiert une conscience, un avis politique.
Il distingue deux grandes visions sur la socialisation politique une prônée par les historiens, une autres par les sociologues. Ces deux grandes visions prônent un processus de socialisation politique différent, celles-ci vont établir le « sens commun ».
Les historiens soutiennent l’idée que les individus seraient soumis aux enjeux du moment qui fondent le choix des gens, ceux-ci sont considérer comme imprévisible et plus autonome, ce qui aurait comme conséquence un changement plus fréquent de partis .Les sociologues sont d’avis que les personne1s sont soumis a une influence psychosociologique émanent des institutions sociales, qui vont fixer le choix politique et reste stable tout au long de leurs vies. * Olivier ihl va dépasser ce sens commun, il opère donc une vision démystifiante, en mobilisant (méthode) un électoraliste : Morris P.Fiorina ,partisan « d’un pointage évolutif des performances partisanes » ,il en ressort de cela que l’identification partisane est composer de long et court terme, cette notion permet donc de mettre en relation les deux grandes visions qui a première vu paraisse opposer, les attitudes politique vont être soumis a une sorte d’arbitrage entre nos dispositions assimiler pendant l’enfance et les enjeux sociaux et économique actuelle ,olivier ihl conclut donc ce nouveau niveau de réalité .
Cet arbitrage rejoindrait alors Anne Muxel qui ressort de son enquête que la socialisation politique est soumise a différente influence tel que les événements et situation politique, de plus cette socialisation se construit sur une tension entre héritage et expérimentation
.Ces deux influences qui ressorte du travail d’Anne Muxel sont a mettre en relation avec l’idée a laquelle olivier ihl,

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