I - Ma situation relationnelle : Ma situation relationnelle se déroule en soins de suite et de réadaptation, sur une réfection de pansement. La patiente est une femme d’environ la quarantaine, elle est dans la structure pour rééducation à la marche, réfection de ses pansements et repos. La patiente a un cancer généralisé, primitif du pancréas avec une insuffisance rénale aigue. Elle a reçu une greffe d’un rein de sa sœur qui n’a pas fonctionné et donc maintenant elle refuse la dialyse. Pour le dossier je vais m’intéressé sur la dernière partie de ma prise en charge de cette patiente. Cependant, il faut savoir que le pansement nous l’avions réalisé la veille avec l’infirmière, et que je l’ai mal vécue ainsi que la patiente. Elle était très douloureuse, et on pouvait percevoir une certaine gêne. Du coup, j’ai repensé à mon soin et je l’ai analysé en réunion avec toute l’équipe et le médecin, au staff du midi. J’ai donc proposé une alternative au soin, avec un toucher-massage pendant le pansement en complément du changement de traitement du médecin. Nous arrivons à la partie qui nous intéresse pour ce travail. Le lendemain, je retourne avec la même infirmière pour ce pansement. La patiente ne se sent pas bien physiquement et moralement, elle est douloureuse et fatiguée. Elle ne veut pas qu’on refasse ses pansements, même si elle sait qu’on va y être obligé vu qu’ils sont saturés. Je l’informe que j’ai pensé à notre soin de la veille qui ne m’avait pas satisfait et que j’ai pensé à faire un toucher-massage si elle acceptait pendant la réfection du pansement. Elle me répond : « je ne veux pas vous déranger, et il va peut-être falloir que vous aidiez votre collègue ». L’infirmière lui explique que non, que nous y avons pensé et ramené plusieurs coussins. Je lui dis que j’ai vraiment envie d’essayer que cela me tient à cœur que j’ai envie qu’elle se sente pour le mieux malgré mon manque de formation sur le toucher - massage. Elle accepte et me dit