solidarite
Implantée dans de nombreuses universités partout en France, elle promeut une économie au service de l’Homme. Au quotidien, elle fait la démonstration que les jeunes s’organisent collectivement pour améliorer leurs conditions matérielles.
Créant de nouveaux espaces de solidarités dans chaque université prête à l’accueillir, Solidarité étudiante compte aujourd’hui de nombreuses coops. Ces lieux de vie sont autant de havres investis par les étudiants désireux de rompre avec la logique de consommation de savoir et d’individualisme dans les universités.
Nos valeurs reposent sur un principe : l’étudiant est un jeune travailleur en formation. A ce titre, il tend à construire son autonomie. Donner le pouvoir aux étudiants de décider de leurs propres affaires, c’est reconnaître leur place dans la société. Mais c’est aussi un choix d’efficacité pour les acteurs publics
Parmi les nombreux champs d’action investis par les associations étudiantes, la solidarité internationale est de loin l’un des plus plébiscités, représentant plus d’un quart des engagements étudiants. Les acteurs de la solidarité internationale et de l’éducation au développement qui se trouvent au plus près de l’engagement des jeunes estiment que le nombre de jeunes français partant sur des projets solidaires au Sud, se situe aux alentours de 50 000 (selon France Volontaires), tous statuts confondus (bénévoles ou volontaires). Depuis le début des années 90 et jusqu'à ce jour, ce phénomène s’amplifie chaque année. La nature de ces initiatives est extrêmement variée : programmes d’éducation, de culture, de développement local, de prévention santé, échanges interculturels…
L’intérêt et l’engouement des jeunes et des étudiants pour les enjeux de solidarité internationale se matérialisent dans deux grands champs d’action : les micro-projets de développement au Sud et