Souffrances au msid
visite de Lalla Aicha ex-voisine et confidente (amie intime) de Lalla Zoubida.
visite de (le sanctuaire/ le mausolée/ la nécropole) la zaouia Sidi Boughaleb.
Sidi Mohammed se fait griffer par un chat au sanctuaire.
Rahma a donné un objet fabuleux (le cabochon en verre) à Sidi Mohammed qu’il mit dans sa boîte à merveille.
Train-train quotidien (félicité, confort) jalousie des voisins.
--------------------Chapitre 2 (pp. 19-32) Le narrateur se souvient du msid et de ses mardis " au couleur de cendre". Il s’y rendait souvent le matin, après des nuits pleines de cauchemars, et n’en revenait que vers midi pour le déjeuner. Le lendemain de la dispute, Lalla Aicha, une ancienne voisine et amie de la famille leur rendit visite. Elle prodigua mille conseils à Zoubida qui souffrait encore des suites de sa querelle. La visiteuse lui fit deux propositions :
aller voir un fqih dont les talismans et les gris-gris étaient réputés efficaces pour guérir tout type de ||||| | était fatigué de sa seconde épouse, qu’il voulait retourner dans son premier foyer, mais qu’il n’avait pas le courage nécessaire pour cela. Salama ajouta que tout allait rentrer dans l’ordre parce que cet époux ingrat ne trouverait jamais d’épouse meilleure que sa première femme. Pendant que Salama mettait les deux femmes au courant des derniers événements, Zhor, une voisine de Lalla Aïcha, vint demander un peu de menthe ; mais en vérité, elle était venue pour participer à la diatribe contre la seconde femme du babouchier. D’après les propos de ces femmes, toute la famille du coiffeur était maudite et indigne de Moulay Larbi. Les agissements de la fille du barbier montraient le caractère insolent de cette famille et des jeunes filles de l’époque. Impressionné par la singularité et la délicatesse de Salama, qui lui offrit des gâteaux et prit sa défense contre une locataire acariâtre, et séduit par la fraîcheur et l’éclat de jeunesse