Partie 1

Chapitre 2

A: Les Cris favorisent une approche indirecte pour ce qui est question des relations entre personnes. Il en est ainsi pour plus qu’une seule raison. En premier lieu, les cris, ainsi que plusieurs autres communautés autochtones, ne sont pas pressé. En effet, ils vivent au même rythme que la nature, selon un ordre circulaire, car tous les événements reviennent selon ce cycle (les saisons, les sécheresses, les migrations, etc...) En deuxièmement lieu, ils cohabitent souvent plusieurs familles dans la même habitation, qui consiste généralement de tentes où l’espace est plutôt restreint. Donc, en abordant une approche indirecte entre chacun, ils s’assurent d’omettre une incursion dans la vie privée des autres.

B: En contre partie, les occidentaux abordent généralement une approche très directe entre eux. Ceci est principalement dû au fait que les occidentaux n’ont pas le temps d’être indirecte. Une des caractéristiques des sociétés capitalistes dit que le temps est de l’argent. Bien entendu l’argent est le principal intérêt de bien des occidentaux, donc le temps aussi. La vie se résulte donc plus telle une course contre la montre. C’est pourquoi ils favorisent une approche directe, pour eux, il est bien plus important d’apprendre tout et le plus vite possible plutôt que de craindre d’imposer ses idées à autrui.

Chapitre 3

A: Chez les Cris, l’expression “s’il vous plait” n’existe pas. Ce comportement vient directement de leur habitude de vie ancestrale dont la subsistance venait principalement de la chasse et de la pêche. Comme la chasse peut parfois ne pas être très productive, de même que pour la pêche, les Cris ont se reflexe de partage bien ancré en eux. De cette façon, si un d’entre eux ne réussi pas à se trouver de nourriture, les autres membres de la tribu lui fourniront à lui et à sa famille ce dont il a de besoin pour se nourrir et ce, naturellement. Cet esprit de partage et d’entraide mutuel règne chez les Cris et fait