Soutenir sans prescrire - fiche de lecture
L’auteur considère que c’est la possibilité d’agir qui permet l’épanouissement personnel et collectif, que privé de cette possibilité, une forme de souffrance s’installe. Il mentionne aussi le fait qu’« agir » ne rime pas avec « s’agiter » ou encore « être actif ». Pour lui « s’agiter » démontre une certaine anxiété, et il réfute « l’activité » car cela sous-entendrait que les personnes souffrant actuellement, est du fait d’une passivité latente de plusieurs années. « Agir » doit, selon lui être défini selon un sens philosophique en le liant avec la …afficher plus de contenu…
» page 413ème partie : Soutenir le développement du pouvoir d’agir (DPA)Donner un poisson, apprendre à pêcher… et pouvoir accéder au plan d’eau !Ici, l’auteur revient sur le grand débat lié à la nature de l’aide à octroyer : faut-il donner un poisson ou apprendre à pêcher ? Donner un poisson priorise le principe d’assistance, selon des principes de solidarité et de vivre ensemble, l’idée étant que pour le bien commun, il ne faut laisser personne pour compte. Apprendre à pêcher priorise l’autonomie de la personne ainsi que sur la valorisation de son effort personnel. L’auteur considère que ce débat est artificiel selon l’approche DPA-PC car un ordre de priorité s’impose en fonction des situations. Au contraire l’assistance et l’autonomie s’articulent dans une démarche plus globale, qui permettra de réunir les