Spleen, charles baudelaire
La première phrase occupe les quatre premières strophes. Il y a trois subordonnées circonstancielles de temps qui sont introduites au début des strophes 1,2 et 3 par la conjonction de subordination quand, puis il y a la principale qui se trouve dans la strophe 4 ; la deuxième phrase quant à elle occupe la dernière strophe.On distingue 3 mouvements dans ce poème. Les trois premières strophes décrivent la montée oppressante du spleen. La quatrième strophe décrit la crise brutale qui résulte de l’oppression et le paroxysme de la crise. La dernière strophe signe la victoire du spleen et l’échec du poète.Titre …afficher plus de contenu…
C’est un sentiment de lassitude coïncident avec une impression profonde de vide.- Les vers 3 et 4 mettent en évidence un paradoxe : le regard se porte vers l’horizon mais pourtant il se sent encerclé.- Le pronom personnel ‘nous’(v4) indique que Baudelaire n’en fait pas tant un cas personnel que celui de tout être humain.- Il y a un oxymore (v4) : ‘jour’ qui représente la lumière et qui est le symbole de la joie renversée par le mot ‘noir’ qui représente plus le désespoir.Strophe 2 : - la métaphore filée se poursuit dans la 2ème strophe entre le monde et un espace carcéral : ‘cachot’(v5), ‘murs’(v7). Le mode devient ainsi une prison angoissante ety sans issue.- le terme ‘Espérance’ au vers 6 est une allégorie de l’idéal. Mais la comparaison ‘comme une chauve souris’ assimile l’Espérance à un animal de nuit, symbolisant la mélancolie une fois de plus.- La sensation d’enfermement et de pesanteur se convertit en angoisse ; les champs lexicaux