Street mark
Quand on y pense le concept en soi est loin d'être nouveau... Bien avant l'arrivé des technologies d'aujourd'hui les commerçants et charlantans de l'époque avaient recours à des «crieurs de foule» qui, de village en village scandaient leurs offres pour vendre des produits «miracles». Les nouvelles du jour étaient aussi criées à tue tête pour vendre quelques copie du «journal de l'époque».
III) On remarque donc que ces interdictions concernent la distribution d’imprimés qui n’est pas l’un des principaux moyens utilisés pour le street marketing. Donner de la vie aux bâtiments, à la voirie et places publiques restent des objectifs plus originaux qui retiennent plus facilement l’attention des prospects. Les autorisations pour ce type de communication sont, certes, plus compliquées à obtenir mais se remarquent certainement plus aux yeux des maires et préfets.