Sucre et fourmis
Dès lors, nous avons tenté de cerner les causes et effets de cette problématique à travers tous les maillons faibles de cette situation.
Néanmoins, nous avons mis l’accent sur ce qui nous a paru fondamental et à la base du reste des problèmes ; à savoir la politique de gestion de l’entreprise qui repose sur des gestionnaires jugés entièrement responsables de gérer leurs départements (un peu comme bon leur semble) du moment qu’ils sont capables d’atteindre les objectifs fixés.
Toutefois, ces derniers sont essentiellement axés sur l’habileté des acheteurs à ramener le plus de profits possibles pour pouvoir toucher des commissions pour voir ensuite leurs départements s’agrandir ce qui distingue, en fait, ceux qui font le plus de chiffre d’affaires de ceux qui en font moins.
De là, un deuxième problème met en évidence le premier car on constate un grave manque à l’éthique quant à la façon de traiter le problème de la marchandise infectée.
Par conséquent, nous avons jugé utile que la compagnie revoit sa politique de gestion dans le sens où elle devrait rebâtir sa mission, sa vision et ses