Suffit-il de bien raisonner pour bien agir ? mais bien agir ?
Ce serait alors faire preuve de bon sens. Bien raisonner serait le fait de passer d’une idée à une autre en conservant ce qu’on estime, nous, être bien. Mais, bien raisonner n’est pas assez suffisant pour bien agir, bien raisonner dans une situation délicate ne veut pas forcément dire qu’il n’y aura pas de mauvaises conséquences à la suite de cela. Dans un ultimatum, la décision finale choisi, celle qu’on estime être la moins pire causera toujours autant de mal même après avoir longtemps réfléchit. L’acte de bien raisonner n’est pas si facile que l’on peut le penser, ils arrivent souvent que l’on puisse penser avoir bien fait après avoir réfléchit, mais nous nous trompons …afficher plus de contenu…
Elle est cependant tentée par l’interdit malgré tout ce qui pourrait lui arriver si elle faisait quoi que ce soit. Elle est alors partagée entre la raison et l’envie. C’est là où réside toute l’intrigue de la pièce de Racine. Alors qu’elle est impuissante, elle subit son amour pour son beau-fils et se voit de plus en plus dépérir sans pouvoir y remédier. Cela montre bien le décalage entre faire preuve d’un bon raisonnement et les envies que peuvent éprouver un être vivant. Nous avons donc précédemment démontré qu’il ne suffit pas de bien raisonner pour bien agir, tout d’abord puisque la vision d’un « bon raisonnement » est subjective selon l’individu qui résonne. Comme il peut résonner pour le meilleur, comme il peut le faire