Sujet : la guerre
Dans ce corpus, sont présenté quatre auteurs ayant tous évoqué le thème de la guerre peu importe l’époque, dans les deux coqs (1668-1693), Jean de La Fontaine associe l’homme à des animaux afin de dénoncer leur comportements. Dans Candide (1761), Voltaire parle de la guerre sur un terme ironique tandis que Giraudoux dans La guerre de Troie n’aura pas lieu (1935) évoque deux points de vue différent de la guerre par un dialogue. Pour finir dans Voyage au bout de la Nuit (1932) Céline évoque la guerre du point de vue d’un soldat. Dans un premier temps, il serait intéressant d'étudier pourquoi un auteur devrait-il prendre parti dans les débats de son temps pour ensuite s'intéresser au point négatifs de cette méthode.
Thèse :
Un artiste, quelque soit son domaine, est souvent influant et beaucoup de gens se reconnaissent dans ce que cet artiste écrit, et c’est pour cela que les artistes ont un moyen d’influer sur un débat de n’importe quel type. Chaque artiste peu intégrer et donner son avis sur un débat à sa manière que ce soit par l’écriture, la musique ou même le dessin, Jean de la fontaine par exemple, propose son opinion à travers ses diverses fables, dans les deux coqs son opinion sur la guerre est donné, il y compare les hommes à des animaux sûrement pour éviter d’être trop direct, il évoque par exemple que l’homme est toujours fier de sa victoire et à cause de cette vantardise fini toujours perdant «( …) S’alla percher, et chanter sa victoire. Un vautour entendit sa voix : Adieu les amours et la gloire ; Tout cet orgueil périt sous l’ongle du vautour » (Ligne 20 à 23) ainsi que dans la morale « Tout vainqueur insolent à sa perte travaille. » Ligne 30. Bardamu dans Voyage au bout de la Nuit ne cesse de se plaindre et d’utiliser un langage très familier à la ligne 2 « Ce saligaud de commandant » et « ce salaud-là » ainsi que « J’espère qu’à l’heure actuelle il est bien crevé (et pas d’une mort pépère) » à la ligne 2 et 3, critiquant