Syndicalisme et mouvements sociaux de la Première Guerre mondiale à l’entre deux-guerres (1914-1921)
Objectif du mouvement ouvrier : renverser le capitalisme
Défendre la paix
Solidarité de classe prime sur « solidarité nationale ».
Etre antipatriotique et antimilitariste : Refus des syndicats et de la classe ouvrière de participer à une guerre qui n’est pas la leur
Centrales syndicales européennes = contre la guerre
La CGT affirme qu’en cas de guerre se serait le moment d’une « grève générale révolutionnaire. »
Léon Jouhaux (secrétaire gle de la CGT) « Les syndicalistes sont prêts à se lever pour défendre les acquis de la République et les idéaux de la Révolution française ».
I)
A)
- Mouvement ouvrier serbe,
- Bolchevicks (Russie)
- Syndicats irlandais (insurrection pour l’indépendance) + Italie et Portugal
Mais les grands syndicats européens (Allemagne, Autriche-Hongrie, France, GB) acceptent l’effort de guerre.
B) Le ralliement à l’effort national
-Classes ouvrières pleinement intégrées
-Abdication des dirigeants syndicaux : embourgeoisement par rapport au prolétaires qu’ils représentent (il y a une distorsion).
- Crainte d’être fusillés ou d’être envoyés au front.
Il y a une énorme pression nationaliste. Les gens se sentent obligé d’aller faire la guerre. De plus, il ya des opérations de séduction en direction des dirigeants socialistes et syndicalistes.
Entrée des syndicalistes dans le gouvernement
Union sacrée
1) L’exemple français
Septembre 1914 : Comité d’action français on y retrouve des syndicalistes, des ouvriers, et le gouvernement. -> Questions relatives à la production , l’économie
Les syndicalistes acceptent :
- L’augmentation de la Q
-La taxation des prix
-L’intervention de l’Etat dans l’économie