Synthèse : Les Français dans la première guerre mondiale LES HOMMES AU FRONT Sur le front les poilus sont soumis à une autorité de fer. En effet selon les hauts commandements le seul moyen pour que les soldats ne cèdent pas à la panique pendant les combats face à la violence des armes nouvelles était qu’ils obéissent aux ordres sans réfléchir. D’ailleurs ceux-ci y consentirent. Néanmoins en 1917 des mutineries éclatent et très vite l’ordre revient mais le quotidien des poilus et toutefois amélioré. La violence des combats terrorisait la plupart des soldats mais l’idée qu’ils puissent avoir la « fine blessure » leur donner de la force pour aller se battre. Pour fuir temporairement les horreur de la guerre, les poilus écrivaient à leurs proches mais dans ces lettres ils ne parlaient pas des défaites et des morts, seulement des bonnes nouvelles pour ne pas inquiéter l’arrière et afin qu’il continue à les soutenir dans leurs combat ce qui montre une fois de plus qu’il y avait un consentement à la guerre. LA MOBILISATION DE L’ARRIERE On savait que la victoire serait à celui qui aurait la meilleure productivité industrielle. Ainsi, à l’arrière, de nombreuses entreprises ont commencé à produire des équipements de guerre. Le gouvernement a installé des propagandes pour que les gens participent à l’effort de guerre en donnant leur argent. De plus les femmes ont commencé à travailler pour remplacer leur mari dans les usines ; les affiches montrant des femmes qui travaillaient les représentaient comme heureuses et fières pour les encourager à venir dans les usines. Dans les campagnes la situation était plus complexe : le travail des femmes n’était pas suffisant et il fallait faire appel aux personnes âgées et aux enfants pour travailler dans les champs. Les enfants ont donc eux aussi pris part à cette guerre, mais ils contribuaient aussi en jouant à la guerre, en détestant les allemands. Il y avait des propagandes qui visaient spécialement les