Tartuffe
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Introduction :
I- L’admiration d’Orgon
B- L’admiration d’Orgon ; éloge de Tartuffe
- Le récit de la rencontre se fait sur le mode exclamatif : « ha ! » l’interjection traduit l’extase ressentit par Orgon et traduit le bonheur qu’il éprouve à se remémorer un instant.
- Se début du récit complète l’idée d’un homme sous le charme d’un autre au v.272 Orgon témoigne de cette fascination, la répétition de « un homme ainsi que le point de suspension souligne qu’il n’a pas assez de mot pour définir à quel point Tartuffe lui semble extraordinaire.
- Les faits et geste rapportés dans le récit de cette tirade vise à mettre en valeur la pratique religieuse du dévot exemplaire au yeux d’Orgon : Régulier à l’église « chaque jour », « air doux », puissance de sa prière », « humble », « à deux genoux » (exagération). Il attire le regard admiratif des autres chrétiens présent à la prière. « Soupirs+élancements » souligne la dimension mystique de Tartuffe.
- L’empressement à servir à son prochain, Tartuffe se dépêche de sortir pour offrir de l’eau bénite à Orgon.
- Il refuse une partie de l’argent qui lui est donné et donne l’autre partie aux pauvres.
- Il prend soin de l’orgueil d’Orgon et de sa femme. Tartuffe exigeant en vers lui-même se reproche le moindre écart, il s’accuse du péché de la colère ou d’un manque de concentration à prier, au v.309 « puce...tué avec trop de colère ».
C- Tartuffe, un saint
II- Dénonciation de l’aveuglement d’un homme sous contrôle d’un directeur de conscience
A- le problème de l’aveuglement
Son problème est posé dès le début par Cléante « se peut-il qu.. »v.263 La tournure interrogative interpelle le spectateur = double énonciation en jeux.
B- L’étonnement
L’étonnement est marqué de la par de Cléante qui souligne d’entré de jeux le comique de l’attitude d’Orgon et de son excès ridicule. Le terme de « caprice » v.262, souligne la folie que perçoit