Telenovelas mexicaines
Comme la plupart de gens, j’aime bien regarder les telenovelas et cela me fait un grand plaisir. Néanmoins, je suis consciente que les histoires qu’on y regarde sont imaginées et se passent très rarement dans la vie réelle. Quand je pense aux telenovelas, ce qui me vient à l’esprit est omniprésent motif d’une pauvre fille et un garçon richard qui tombent amoureux et qui durant toute la telenovelas font face aux différentes difficultés pour dans le dérnier épisode être finalement ensemble et vivre heureusement. Mais dans la réalité, telles histoires de grans amours on rencontre très rarement.
Dans les telenovelas les personnages sont constants, ils constituent en réalité des modèles stables ou des contres modèles invariables. Dans les modèles mexicains, trois types de héros sont présents. D’abord, les personnages qui défendent une valeur « positive ». D’autres qui sont tout à fait « négatives ». Et enfin des héros qui balancent entre attitude morale « positive » ou « négative » et qui à la fin de telenovelas deviennent de bonnes personnages. Chacun de ces personnages incarne même une catégorie sociale définie. Une punition généralement très grave est donnée pour les personnages défendant les valeurs négatives. Même si les caractères ou les attitudes évoluent, les conséquences positives ou négatives des choix moraux sont évidentes. D’habitude, elles confinent au stéréotype. Bien sûr, dans la vie réelle, un tel partage de gens pour des bons et des mauvais n’existe pas.
Les telenovelas mexicaines abordent des thèmes peu novateurs comme