Le thème est le suivant : la quête de la félicité.
La thèse est la suivant : la félicité consiste à s’assurer qu’on a le pouvoir et les moyens de satisfaire nos désirs.
Le plan est le suivant : De « celui » à « désiré », Hobbes met en évidence que la continuelle marche en avant du désir n’a pas pour but essentiel de se faire plaisir mais de s’assurer que l’on peut toujours être dans la félicité.
Dans la seconde partie, Hobbes nous montre que la félicité est essentiellement liée au pouvoir de c’est-à-dire aux capacités que l’on a d’être à l’origine de sa satisfaction.
Le texte pose le problème philosophique suivant : Cette félicité est-elle une totale désillusion de mes désirs ?
De « cause » à « présentement », Hobbes nous a montré une définition inattendue du désir. Apparemment, l’élément déterminant consiste à apaiser les peurs fondamentales de l’homme. En se prouvant que l’homme a les moyens de ses envies, qu’il a les moyens de dépasser l’infligente condition humaine. C’est pourquoi la cause du désir « n’est pas toujours un plaisir plus intense ou qu’on ne peut se contenter d’un pouvoir modéré mais le fait qu’on a les capacités de les satisfaire. »
Ici, nous pouvons nous interroger. Habituellement la cause du désir est le plaisir or Hobbes ne nous semble pas jouisseur même s’il est question toujours d’une quête perpétuelle du désir, le but de cette quête est simplement le fait d’apaiser des angoisses. Hobbes ne veut pas être un exclu mais un nanti de la vie, d’autant que ses richesses n’auraient comme origine que son propre talent. Constat inattendu et pourtant très convainquant si nous prenons comme exemple notre société actuelle qui se sent toujours