Theatre de l'absurde
Dans le film d’Anne Marie Rocher Les Acadiens de l’Île nous avons regardé les gens vivant au Québec qui racontent de leur vie quotidienne et leur contact avec la langue française. Ils habitent à l’Île-du-Prince-Édouard. Les mariages entre Acadiens et anglophones créent des familles bilingues, où l’un des parents parle le français et l’autre l’anglais. Cette situation complique le choix de la langue parlée par les enfants, les parents ont un grand dilemme – quelle langue faut-il aprrendre à leurs enfants ?
Les gens que nous avons vu dans ce film ne connaissent pas la langue française malgré leurs racines française ou acadiennes. Ils souvent soulignent leur regret causé par la méconnaissance du français, mais ils sont aussi très contents que leurs enfants peuvent apprendre cette langue aux écoles et ils les encouragent beaucoup à ce travail. La répétition est la plus populaire mèthode d’apprentissage utilisée aux écoles primaires.
Nous connaissons Calvin, un enfant très doué dans la musique, qu’il joue du piano, et son oncle, Lenny qui joue de la guitarre. Grâce à la musique ils peuvent maîtriser la langue. Les parents de Calvin ne parlent pas français, contrairement de leurs descendants. La connaissance du française de Lenny n’est pas si bien que l’anglais, mais il a appris fraçais pour pouvoir créer des chansons dans cette belle langue.
Il existe aussi les régions, comme Tignish, où les anglophones sont en minorité. Le français est présent aux écoles superieures, dans toutes sortes des institutions. Ces actions ont été pris pour introduire l’idée de rénaître de la langue française là-bas.
Les Acadiens ont les bonnes idées : étant donné que les familles sont y mixtées, s’il sagit de la connaissance de la langue, alors elles prennent une décision de faire connaître de la langue française les plus anglophones possibles. C’est la chance pour les Acadiens de cultiver les traditions et la culture.
Le deuxième film nous présente