Thérèse Desqueyroux
Par François Mauriac

Cette œuvre écrite par François Mauriac est une œuvre qui traite des différents thèmes comme la liberté, la solitude et la criminalité. Le thème de la criminalité évoque aussi la question du caractère de Thérèse, le personnage principal. Lorsque Thérèse est enfant son caractère commence à évoluer à cette personne qu’on trouve à la fin de l’histoire, où elle est devenue une personne qui a tenté de tuer son mari. Thérèse est une femme seule. Son père est un homme d’affaires, et c’est les affaires qui sont les plus importantes dans sa vie et leur relation n’est pas dévouée. « Son père ne l’embrassa pas, ne lui donna même pas un regard… » [1]
Mais elle n’est pas seulement une enfant seule, elle devient aussi une femme seule et sa solitude grossira de plus en plus. Quand elle arrive chez son mari après le procès, elle n’a pas pu trouver quelque chose à dire pour sa défense, même pas une raison de son crime. « Elle répète machinalement des mots rythmés sur le trot du cheval : Inutilité de ma vie – néant de ma vie – solitude sans bornes – destinée sans issue. » [2]
Enfin elle est même enfermée par son mari et elle devient seule dans toutes les façons possibles. Elle est aussi une femme très intelligente, plus intelligent que son entourage, un fait qui la rendre peut-être un peu plus seule aussi. Au moment où elle rencontre Jean Azévédo, qui est un homme aussi intelligent qu’elle, peut-être même plus intelligent, elle commence à comprendre qu’il y a un monde où elle serait éventuellement mieux comprise. Un autre trait de caractère chez Thérèse est l’indifférence, cela dérive aussi de son enfance et se montre quand elle devient mère elle-même. Thérèse n’était pas la personne la plus importante pour son père et sa propre fille ne devient pas la plus importante pour elle non plus. Sa meilleure amie Anne est peut-être la personne la plus proche de Thérèse et de qui elle tient compte. Également dans le cas de Anne