Être et paraître
Une bonne image apparente

D’auprès d’un point de vue psychiatrique, les femmes qui se soumettent aux chirurgies esthétiques cherchent, à travers de cette intervention, améliorer son image. La recherche d’une bonne image est la conséquence des demandes de la société et aussi d’un manque de confiance pour soi-même. Le bistouri est la solution pour le manque de confiance en soi-même: ces femmes ne cherchent que l’acceptation de la société mais l’acceptation d’elles-mêmes. Une bonne image est l’entrée à l’auto-acceptation, c’est-à-dire, le courage pour se regarder dans le miroir et se trouver soi-même belle.

Une sorte de narcissisme à l’envers

Le narcissisme peut avoir deux sens, un positive et une négative. Les deux ont des extrêmes qui deviennent dangereux. Dans notre cas le narcissisme a un sens négatif car la recherche n’est pas un envie de connaissance sinon d’une appréciation est qui est bassée dans les yeux de l’autre. La chirurgie est la compensation d’un narcissisme à l’envers et aussi la façon de se trouver belle.

Une forme de thérapie

Le bistouri est aussi la substitution du psychanalyste. C’est plus cher, est vrai, mais les résultats selon les femmes qui se soumettent aux chirurgies sont mieux parce que le problème est résolu immédiatement. Le manque de cet amour pour soi-même est aveuglant car on ne regarde pas qu’il est plus facile changer notre appréciation de la beauté que change nous-mêmes. Après la chirurgie les femmes devront devenir une personne plus fière d’elle-même, mais la chute émotionnelle peut arriver juste après cette intervention, quand on regarde que la beauté ne dépende que de nous.

La relation avec les parents

La mère représente la confiance, en elle on se basera toute la vie. Dans l’enfance elle est qui nous donne l’aide, qui nous apprend et qui nous donne de la confiance grâce a son amour. Dans notre cas si la mère ne fait pas cette fonction, la fille deviendra une adulte sans confiance et