Tirade de perdican, on ne badine pas avec l amour Beaumarchais
A une critique du couvent
-blâme dela vie au couvent mis en place avec le champ lexical de la religion « nonnes » « divin » « ciel » et « couvent » qui vont etre associé à la vision d’une prison ou d’un refuge pour les femmes ayant subi une souffrance amoureuse.
-l’éducation donnée au couvent est caractérise par le champ lexical de la manipulation avec « le mensonge de l’amour divin » , « fait la leçon », « réçits hideux » , camille a été manipulée mentalement et intellectuellement à tel point qu’elle a réfusé tout contact de politesse avec perdican traduit par la modalisation » tu voulais partir sans me serrer la main » et la métaphore « me refusait un baiser de frère ».
-perdican méprise la religion et les nonnes en employant l’adjectif démonstratif dévalorisant « ces femmes » et le pronom « elles ».
B. le registre polémique au service de la destruction des valeurs de Camille :
-l’enumération de questions de rhétoriques l 1 à l3 reflètent la colère et l’indignation de perdican face à la manipulation dont camille a été l’objet.
- la présence de l’ironie avec l’antiphrase et l interjection « eh bien ! camille, ces femmes t ont bien parlé ; elles t ont mise dans le vrai chemin » condamne avec force l hypocrisie des religieuses.
-avec l’hyperbole « savent elles que c’est un crime…. » et l’énumération de phrases exclamatives « ah ! comme elles t’ont bien fait la leçon !comme….tante ! » prouvent que perdican est indigné par une telle façon d’agir et cela revèle aussi l’impuissance à laquelle il a été contraint auparavant.
II un plaidoyer pour l’amour humain :
A.la rhétorique selon Aristote
- perdican a reçu une éducation humaniste parfaite et complète.Il est érudit(savant) et met son savoir en action dans ses 2 tirades .il commence par employer une captatio ( c est l exorde c’est-à-dire la phrase d’ouverture du discours qui est un exposé bref de ce dont on va parler.) il a recours au futur avec « lorsqu on te