Tocqueville, De la démocratie en Amérique. (II, 2,2)

Deuxième partie: Influence de la démocratie sur les sentiments américains.

Chap 1: Pourquoi les peuples démocratiques montrent un amour plus ardent et plus durable pour l’égalité que pour la liberté.
La passion de l’égalité prend chaque jour une place plus grande dans le coeur humain. Et il semble que nos contemporains avaient un amour bien plus ardent et tenace pour l’égalité que la liberté.
Tocqueville veut imaginer un point extrème où la liberté et l’égalité se touchent et confondent.
Il suppose que tous les citoyens concourent au gouvt et a un droit égal d’y concourir. Nul ne différant de ses semblables, personne ne pourra exercer un pouvoir tyrannique. les hommes seront parfaitement libres, parce qu’ils seront tous entièrement égaux et vice versa. C’est vers cet idéal que les peuples démocratiques tendent.
Mais il y a d’autre formes d’égalité qui sont chères aux peuples. L’égalité peut s’établir ds la société civile, et ne point régner ds le monde politique. On a le droit au xm professions, plaisirs, lieux, poursuivre à la richesse, sans prendre une part égale au gouvt. Une sorte d’égalité peut m s’établir ds le monde pol quoique la liberté pol n’y est point: être l’égal de tous ses semblables sauf le maître de tous.
Quoique les hommes ne puissent devenir absolumt égaux sans être entièrement libres, et que par conséquent l’égalité se confonde avec la liberté, on doit distinguer l’une de l’autre.
Le gôut qu’on les hommes pour l’égalité ou la liberté sont 2 choses distinctes et inégales.
La liberté s’est manifestée aux hommes ds différents temps et sous différentes formes, elle ne saurait former le caractère distinctif de la démocratie car on la rencontre autre part. Le fait particulier qui singularise ces siècles est l’égalité des conditions: la passion principale qui agite les hommes ds ces siècles là est l’amour de cette égalité.
Si un peuple pouvait pavenir à détruire ou dimunier