Top 10 des vices cachés dans les dessins animés Disney (quand on gratte un peu) http://www.topito.com/top-vices-caches-disney Le roi lion, le livre de la jungle, Bambi ou encore la belle au bois dormant. Ces dessins animés ont surement bercé l’enfance de la majorité d’entre vous. Dès votre deuxième année où, commençant à gesticuler et courir dans tous les coins de la maison, vos parents ont découvert que le seul moyen de vous faire tenir en place était la magie de la télé. Jusqu’à environ vos 7-8 ans (moyenne en baisse) où définitivement Disney ça devient ringard et vous passez à TFou et ses pubs manger-bouger. Bref. Quoiqu’il en soit, la « magie de Disney » a opéré au plus profond de votre âme. Ces grands classiques sont définitivement indémodables et les Pixar, bien que sympathiques et beaux visuellement, ne les remplaceront jamais. Au grand jamais. Toutefois, après un revisionnage de l’intégralité de cet œuvre avec un œil (presque) adulte et un esprit plus acéré qu’à 6 ans et demi, nous constatons l’envers de la magie, les vices ainsi que les névroses cachés dans ces dessins animés, définitivement réservés à un public adulte.
1. La zoophilie : l’un des premiers Disney analysés fut la belle et la bête, qui présente de manière flagrante des rapports zoophiles entre Belle et le prince déchut. Cette chère demoiselle ne prend pas la place de son père, retenu prisonnier, par amour (où y serait son intérêt ? Il est vieux et arrive au terme de sa vie) mais bien par attirance irrésistible et une envie d’assouvir ses fantasmes envers les animaux. Leur relation est au début houleuse et difficile suite au caractère de le Bête qui, avouons le, est merdique. Mais à force de vivre ensemble, tout deux finissent par y trouver leur compte. La mort de Gaston et la transformation de la Bête n’est qu’une métaphore indiquant que Belle projette l’image de l’homme vers l’animal pour assumer ses pulsions.
2. Le complexe d’Œdipe : celui-ci est présent dans le roi lion. Rappelons