Tourisme autochtone
De la difficulté de développer le tourisme solidaire en Afrique subsaharienne
Dans ce texte, l'auteur, M. Jean-Philippe Principaud s'intéresse au "tourisme rural intégré" en Basse-Casamance. D'entré de jeu il s'intéresse sur l'intérêt d'encourager ce type de tourisme dans le secteur africain subsaharien. Dans son article l'auteur cherche à "appréhender les expériences de tourisme alternatif à même de répondre à un meilleur développement dans les région enclavées ou dépourvues d'infrastructures de bases" (note bsa de page). M. Principaud cherche à comprendre les enjeux de ce type touristique dans les endroits qui ont besoin de dévelloppement.
Dans ses recherches, l'auteur se base sur l'exemple de la Basse-Casamance et y en identifie les enjeux. D'une part il définie ce qu'est le "tourisme rural intégré". Ce phénomène touristique se dois de répondre à quatre points établis par le professeur Mimoun Hillilali. Dans ce genre de tourisme, la population s'implique dans l'organisation, ils sont aussi bénéficiaire des retombées monétaires lié au tourisme, l'activité touristique ne perturbe pas l'équilibre économique, écologique, humain et culturel du lieu exploité. Finalement, le "tourisme rural intégré" se dois d'être orienté sur la compréhension de la situation local et sur l'immersion culturelle. Ce genre d'exploitation tend à permettre au communauté local de maîtriser le tourisme. Bien qu'il est connu un essor dans le début des années 80 avec l'implantation de plusieurs campements, ce type de tourisme à été freiné en Basse-Casamance au début des années 90. Qu'est-ce qui explique cela?