Dans ce corpus intitulé ‘’ Le poète et le douleur ‘’. Nous avons trois support, deux poèmes très connu de l’époque et un extrait de correspondance. Le premier poème est ‘’ Les fleurs du mal (1857) de Charles Baudelaire, qui rappelons le est un est poète romantique. Très apprécie du XIXeme siècle. Ensuite le deuxième est un extrait de poème s’intitulant ‘’ La nuit de décembre (1857 ) ‘’ écrite par Alfred de Musset, qui est un poète romantique lui aussi très prisé à l’époque. C’est lui qui donne naissance au theatre de salon c’est a dire un theatre destine a être lu et non a être joué sur scène. Le troisième support est ‘’ Lettres à un jeune poète (1929)’’ par Rainer Maria Rilke. Lui qui est un poète Autrichien, qui a connu l’armée. Dans une première partie, nous verrons que la douleur est une expérience négative qui met l’individu en péril. Et dans une deuxième partie, nous allons voir que le poète parvient a convertir cette expérience plutôt négative en positive. Toute en répondant a la questions: La douleur est-elle pour le poète une malédiction ou bien une bénédiction ?
Dans un premier temps, nous allons voir que la douleur une expérience négative qui met l’individu en péril. Tout d’abord on peut apercevoir cela par les différentes formes de douleur, la solitude, le deuil, les blessures d’amour propre. Dans les deux premiers strophe, le poète décrit un jour de son enfance. La description représente une situation de solitude, qu’il le représente avec un pauvre enfant vêtu de noir. La couleur noir qui renvoi directement vers la solitude. Ensuite le deuil de son père, le poète raconte une épisode. Il s’agit de la mort de son père, cette fois l’homme en noir est symbolisé comme un personnage mystique couronné d’épine. Qui montre une situation négatives qui relèvent le deuil. (strophe 8 à 10) Enfin le poète il nous montre sa première blessure d’amour, Cet etrangé a perdu le sourire, il n’y a plus le salut d’un ami mais il y a la souffrance. (strophe 5). Mais aussi