Méthode utilisée :
Pour vérifier l’effet des relations amoureuses sur le système immunitaire, j’ai utilisé la méthode quasi expérimentale. La variable dépendante de cette expérimentation est le nombre d’immunoglobines –A1 et la variable indépendante est les cinq groupes de 5 couples.
Description des sujets :
Pour vérifier l’hypothèse, vingt-cinq couples (25 hommes et 25 femmes) ont participé à l’expérience. Tous étaient âgés entre 26 et 30 ans. Ils sont tous diplômés au niveau collégial et gagnent sur le marché du travail entre 45 000 -50 000 $ par année. Tous les couples sont hétérosexuels.
Matériel :
L’expérience s’est déroulée dans une grande salle. Tous les candidats étaient assis sur des chaises à des bureaux individuels. Nous avons distribué les questionnaires sur l’échelle amoureuse et un stylo à tous les participants. Nous avons aussi distribué des verres d’eau à tout le monde. Après le questionnaire passé et les résultats comptabilisés, nous avons divisé le groupe en sous-groupe. Par la suite, nous avons pris 50 échantillons de salive que nous avons entreposés dans 50 éprouvettes. Nous avons disposé les éprouvettes dans une boite que nous avons fait parvenir au labo. Ensuite, le labo nous a envoyé une feuille de résultat des immunoglobine –A1 dans le système de chaque personne.

Déroulement :
Nous avons accueilli tous les couples dans une grande salle. En entrant, nous avons offert un verre d’eau à tous les participants. Après que ceux-ci sont tous assis à un bureau individuel, nous distribuons des stylos. Ensuite, des gens distribuent les questionnaires de « l’échelle amoureuse ». Nous demandons aux participants de répondre le plus d’honnêtement possible et nous laissons 15 minutes pour faire le questionnaire. Suite à la remise des questionnaires, nous avons entrepris le processus de la vérification des réponses.
Après avoir connu les réponses, nous divisions le groupe en 5 sous-groupes (sûrement en amour, probablement en amour, peut-être