Le XVII° siècle est l'âge d'or du théâtre. Racine est un dramaturge de ce siècle qui tente par tous les moyen de s'imposer parmi les grands. Et c'est avec Britannicus, joué en décembre 1669, qu'il parvient à concurrencer Corneille, fameux dramaturge du mouvement classique. En 1670, il fait une préface de réaction pleine d'émotions. Puis en 1674, plus mature, il écrit une seconde préface. Nous verrons qu'elle sont les fonctions de cette nouvelle préface. Nous percevrons tout d'abord que la maturité acquise de l'auteur puis nous nous attacherons à la tentative de conviction.

Le texte nous prouve tout d'abord la maturité de Racine. Dans le premier paragraphe il annonce que « les critique se sont évanouis » et que sa « pièce à demeuré ». Cette expression peu être perçu comme une satire des censeur, comme celle de la première préface, qui est moins imposante et plus réfléchie dans la seconde. Ensuite il nous indique qu'il c'est inspiré de « Tacite », un historien romain. Sa pièce a donc un sujet historique ce qui était à cette époque la spécialité de Corneille. On peut pensée que Racine attaque ce dramaturge de façon implicite. Ainsi la préface montre la prise de maturité de son auteur.
Le texte contient aussi une tentative de conviction. Racine cherche à nous convaincre que sa pièce respecte les règles classique. Tout d'abord il annonce qu'il à « copié » Tacite se qui nous informe qu'il c'est inspiré des anciens que ce soit au niveau des personnage que des lieux. Et cette tentative de conviction nous est confirmé par une structure de la description des personnages. En effet elle commence par Néron le « monstre naissant » suivit de Narcisse qui lui entretenait ces « vices » et se termine par « la jeune et belle » et « considéré » Junie. Aussi il justifie ses source et ses choix par la citation de phrase latines. Enfin il nous dit qu'il ne lui est pas « permit » d'augmenté l'age de Britannicus se qui montre son soin de suivre la règle de vraisemblance. Ainsi le but