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Disposant d’une faible marge de manœuvre, les clubs doivent donc réfléchir ou profiter de certaines occasions : les joueurs libres. Premier de parole, le président de l’Olympique de Marseille, Jean-Claude Dassier, avait clairement indiqué que sa cellule de recrutement allait plancher sur ce type de denrée. Une déclaration qui avait fait bondir des supporters s’attendant davantage à des noms plus ronflants et surtout un Didier Deschamps qui n’a cessé de réclamer une pointure qu’il n’a jamais eue. Mais pour Christophe Mongai, rien de surprenant. « C’est la tendance. Il y a moins d’argent dans le foot et il faut commettre le moins d’erreurs possible. Après, pour la France ce sera suffisant, mais il ne faut pas se leurrer, on ne va pas pouvoir exister sur le plan européen. Marseille comme Lyon et Paris ne peuvent pas faire de folies et n’ont pas les moyens comme leurs rivaux en Europe. » Faut-il pour autant cracher sur ces fameux joueurs libres ? Pas si sûr.
« On vit une situation unique depuis un ou deux ans. On se retrouve avec des joueurs de qualité libres ! Regardez à Marseille où un joueur comme Taiwo s’est retrouvé dans cette situation. Après il y en a d’autres comme Marveaux, Amalfitano ou Mexès pour parler de l’étranger. Ce sont des