Tristan et la quête du graal
Le chevalier Tristan qui avait des cheveux courts aussi brillant que la lumière et aux yeux bleu comme un océan enragé. Sa grandeur était semblable à ses prouesses. Ses cheveux étaient lisses et son teint était basané. C’était un des plus grands en valeur et en renom. Ce paladin se préparait pour la quête du graal. Cet objet aussi puissant que beau donnait l’immortalité et la puissance infinie à son possesseur. Mais la route du graal était périlleuse et nul ne revint vivant. Néanmoins le preux chevalier décida de s’y aventurer. Ainsi le lundi de Pentecôte il se mit en route et il monta son destrier. Il devait traverser tout le pays avant de pénétrer dans la ténébreuse forêt de Rosaline. Il parcourut des heures sans ne jamais s’arrêter. Le crépuscule approchait et notre chevalier n’avait toujours pas pénétrait la forêt. Fatigué, Tristan s’allongea sur un rocher et s’endormit. Peu de temps après, il entendit des bruits aussi puissants qu’étranges. Pris de panique, il dégaina son épée dont le pommeau était en or et il s’aventura dans une grotte. Soudainement, un énorme dragon arriva et cracha des flammes ardentes. Le jeune homme bondit sur la bête mais il le repoussa d’une force époustouflante. Tristan était blessé mais grâce à son haubert il ne senti que de simples coups. Il ne pensait qu’a sa gente dame la plus belle et meilleure. Par la suite il se releva et se précipita vers le dragon puis il lui transperça l’abdomen de son épée. Son haubert était abimé. Désormais, le chevalier était blessé mais il trouva la force de continuer sa quête. Peu de temps après, il rencontra un marchand avec des immenses chevaux. Tristan le salua et lui demanda ce qu’il vendait.
« Bonjour, marchand, je me nomme Tristan de Sauvigny, que vendez-vous ? Demanda Tristan.
_ Je possède des armes de toutes sortes dont la lame vient de Constantinople, affirma le marchand.
_Pourriez-vous me les monter ? Questionna-il.
_Ces armes ne sont pas à vendre elles sont