Trivalisation de la shoah
La trivalisation est le fait de rendre commun, ici le philosophe et historien Georges Bensoussan démontre que la notion de génocide est banalisé. Cette conférence sur la Trivalisation du génocide date du 23 septembre 2008. On tentera de répondre en quoi repose "la trivalisation" de la Shoah (ce mot Hébraïque souligne la spécificité du génocide juifs perpétré par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale) selon Georges Bensoussan et en quoi elle porte atteintes à la mémoire de ce génocide. L'intervention de Bensoussman consiste à expliquer la banalisation grace à plusieurs exemples démontré ci dessous. Il nous rappel que le concept de "crime contre l'humanité" dont fait parti le génocide éxiste depuis les guerres balkaniques (1912-1913), et qu'il s'est ainsi précisé lors de la première guerre mondiale. Il nous fait part que les responsables politiques n'utilisent pas ces termes à bon escient, qu'ils utilisent le terme de génocide lorsque qu'il n'a pas lieu d'être par exemple avec les crimes produits en Yougoslavie (en 1993) que l'on ne peut pas qualifier de génocide. Les responsables politiques évite de qualifier des crimes de génocide alors que pour certain s'en est réellement un, ceci est dans le seul but d'éviter le "devoir d'ingérence". Georges Bensoussan insiste sur le fait que nous éxistont à partir du moment où nous sommes victimes, donc par définition nous sommes innocent. Pour exister aujourd'hui il faut être la victime du crime des crimes, c'est à dire la victime du génocide. Tous les massacres sont devenus génocide et ils en sont vite qualifier. La Shoah n'est pas comparable, or, il faut la comparer pour ne pas la banaliser car quand on la compare