Aux sorties de mon travail en équipe de cette session, plusieurs éléments sont à ressortir. J’ai développé davantage mes compétences de travail en équipe et j’ai tiré des leçons de cela.
En effet, contrairement à l’année dernière où j’étais timide et craignait que l’on me juge, cette année, j’ai décidé d’agir dès le départ. J’ai partagé mes opinions et je guidais les autres membres de mon équipe pour les travaux à remettre, comme les actualités et le travail de session. C’est très important qu’au début d’un projet de telle envergure, de comprendre la vision de nos coéquipiers afin d’assurer la réussite du travail. En effet, lorsqu’il y avait certaines frustrations les premières semaines parce que certains membres ne se manifestaient pas lors des échanges sur le WIKI ou par courriel, j’ai opté pour l’instauration d’un changement. J’ai opté pour une manière diplomatique de faire de la mobilisation centrée sur la collaboration d’autrui. Certains de mes coéquipiers et moi y sommes parvenus avec les efforts de coordination spontanée de tous. Nos coéquipiers se sont montrés intéressés à collaborer et à coopérer et nous sommes arrivés à un consensus. Je sais maintenant que pour faciliter un changement et limiter la résistance au changement, il faut l’implication de tous dès le départ.
La gestion de notre travail d’équipe était basée selon les trois axes de préoccupation et d’action en donnant la chance à chacun d’apprendre, de se former et de développer son indépendance. La loyauté et le respect occupaient une place importante au sein du groupe.
J’estime que mon type de leadership s’est maintenant défini et que je suis à la limite du paternaliste et de l’autocratique. En effet, chaque fois que les gens prenaient du pouvoir, je m’adaptais à chaque fois. Je pense que c’est important de pouvoir s’adapter aux changements au sein d’une équipe, car si on ne change pas, il peut y avoir des incompréhensions et des conflits qui en résultent.
J’apprends à me définir de