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Tout d’abord, en lisant le livre de Mademoiselle Julie, on peut s’apercevoir que la cruauté occupe une très grande place. Premièrement, la violence occupe une très grande place. La violence dont témoigne les agissements de Jean en est une preuve surtout lorsqu’il assassine l’oiseau de Julie : « Il lui arrache l’oiseau, porte jusqu’au billot, prend le tranchet de cuisine […] et frappe». On peut voir ici que le champ lexical de l’agressivité : « arrache, prend le tranchet, frappe », témoigne de la cruauté présente dans la pièce qui est, entre autre, expliqué par la violence de Jean. Deuxièmement, dans ce récit, on voit bien que la cruauté est traduite par la façon dont Jean traite Julie. Par exemple, lorsqu’il lui dit, à la page 114 : « Concubine à laquais, pute à domestique, ferme-la et fous le camp d’ici […] Aussi grossière que tu t’es conduite ce-soir, jamais un de mes semblables ne la fait ». On voit bien que la figure de style de comparaison que Jean utilise dans son dialogue est un acte de cruauté en soit car Jean compare cette femme de classe supérieure à une pute semblable aux domestiques et la rabaisse au plus haut point, ce qu’un homme de son titre ne devrait jamais faire à cette époque. Troisièmement,
De surcroit, dans la pièce Mademoiselle Julie, un autre thème qui revient souvent est celui du désir. Premièrement, la quête de liberté de Jean est un rouage important du désir, car lorsqu’il dit : « J’y monterai un hôtel avec un service de première classe et des clients de première classe», on voit qu’il