Mirza, ou Lettre d’un Voyageur, a été écrite environ 1786 par Madame Germaine de Staël quand elle avait moins de 20 ans. Bien qu’elle soit jeune, Mme. De Staël communique une belle histoire qui pousse le lecteur à réfléchir et à se poser des questions importantes sur deux thèmes principaux. Le premier est l’amour et le deuxième est l’esclavage. Ces deux thèmes sont liés pendant toute la nouvelle quand elle raconte l’histoire de Ximeo, un ex-esclave, et les deux femmes qui font partie de sa vie amoureuse pendant le récit. L’auteur donne des messages très intellectuels et importants pour le lecteur durant toute la nouvelle. Ce rapport va examiner l’esclavage et la complexité de l’amour entre Mirza et Ximeo. L’esclavage dans cette œuvre est montré d’un point de vue européen, mais l’auteur nous donne une image différente qui cherche à changer l’opinion des gens de son époque. Malgré le racisme qu’on peut apercevoir en regardant le texte, il faut considérer la réalité dans le monde où l’histoire à été composé. Le rôle d’Africains est amélioré dans le texte car elle n’utilise pas des stéréotypes ou de langage raciste. Loin de décrire des personnages Africains « typiques,» Mme. De Staël propose des Africains intellectuels, sensibles, et sérieux. C’est ainsi qu’elle a donné des caractéristiques « européens » aux personnages Africains pour pouvoir bien narrer leur histoire d’amour aux lecteurs de n’importe quel pays ou culture. Le narrateur sert à accentuer la perspective d’un étranger au monde des inconnus Africains. Grace à lui, le lecteur apprend les différences entre les personnages, et même les préjugés et défauts des deux cultures. Le narrateur fait les comparaisons et les observations qu’on peut trouver aujourd’hui « racistes. » Tous les éléments de l’histoire qui ne sont pas décrits par le narrateur sont sans jugement sur la façon de vivre chez les personnages Africains. Par exemple, on peut voir le respect culturel que Mme. De Staël montre aux personnages quand