Un bon livre
La question d’un bon livre nous renvoie vers une autre qui interpelle la définition extérieure de la qualité littéraire au jugement social: « Est-ce qu’un bon livre est un livre qui se vend ? ». On a tendance à penser que si un livre se vend, c’est nécessairement un bon livre. Si il se vend à une grande quantité d’exemplaires et obtient une récompense littéraire cela montre que tout le monde s’accorde a dire que c’est un excellent livre.
Il y a aussi une autre notion du bon livre, c’est le livre qui passe à la postérité, qu‛on lira de génération en génération. Prenant par exemple les classiques : Zola, Victor Hugo ou Maupassant…des œuvres notamment utile dans le cadre universitaire et scolaire recommandé par les adultes et les enseignants. Sauf que, Les exigences et les choix des adolescents ne correspondent pas forcément à ceux des enseignants et des professeurs, sa nous renvoie alors à la diversité du public, des gouts, des cultures et précisément au choix personnel.
La notion du bon livre évoque d’avantage un jugement personnel, une présence de