Une campagne électorale en dépit des caisses de l’état (tunisie
Ainsi ces emprunts octroyés ne sont pas aptes à être remboursés si l’on ne change pas radicalement de politique, rappelant que l’endettement extérieur est maintenant de l’ordre de 47% du PIB. Dans le cas contraire la Tunisie finira paralysée par un gouffre économique avec un nombre réduit de perspectives de s’en sortir. L’une des politiques à adopter et qui a due être adopté depuis les premiers emprunts est d’investir ces sommes dans des générateurs de biens marchands, tel que la facilitation des subventions, l’amélioration de l’infrastructure pour une ouverture d’éventuelles nouvelles initiatives économique, etc.
Entre temps les représentants du gouvernement tiennent à nous faire voiler cette aberration par la mise en avant de la croissance économique de 3% en 2012. Malheureusement ces résultats ne reflètent pas un exploit dû à la performance au niveau de la politique économique du gouvernement. Ces résultats sont le fruit d’un gonflement exagéré du PIB qui est lui-même dû par le gonflement des dépenses publiques, qui est une autre résultante des emprunts extérieurs. Mais ces résultats sont surtout dus par cause de la stagnation économique de l’année 2011 après laquelle la plus légère des reprises