Une comparaison entre un journal de guerre de Julien Gracq et Balcon en forêt
Alors que dans l'extrait de son livre Un balcon en forêt ce n'est pas vraiment pareil, le personnage Grange, est complètement déconnecté du monde réel et ne se rend compte du vrai danger qu'à la fin de l'extrait. On passe du silence angoissant à un bruit rassurant avec l'emploi de « il tendait l'oreille vers les taillis sans oiseaux, vaguement inquiet de cet évanouissement suspect » (l.12-14) qui révèle l'angoisse. Dans ce texte du point de vue interne, le narrateur décrit ce qui se passe comme si c'était quelque chose qui n'est pas dans la guerre, on remarque notamment dans les mots suivants « un long fracas somptueux de rapide céleste froissant ses rails et ferraillant sur des aiguillages » (l.17 – l.19) que le narrateur décrit comme si c'était un train et non l'artillerie lourde. La description du narrateur est quasiment poétique, montrée par les bruits associés de la bataille en outre le bruit qui envahit tout, le manque de vue