Dans cette nouvelle on peut distinguer deux formes de passions que nous allons présenter : Pour commencer il y a l’amour de Pietro pour sa patrie qui est une véritable passion car il est prêt à quitter son amante pour la patrie et même y perdre sa vie pour la sauver. Vanina le comprend aussi c’est pourquoi elle fait tout son possible pour l’éloigner de la patrie mais elle s’y prend mal et de plus Pietro est trop préoccupé par ses plans pour sauver sa patrie. Par exemple dans se passage Pietro semble dire que la patrie est vivante en disant par exemple : « Ah si cette affaire-ci ne réussit pas, si le gouvernement la découvre encore, je quitte la patrie… » Quand il dit « je quitte la patrie » ça semble vouloir dire qu’il pense que la patrie est vivante (le narrateur fait une personnification par le biais de Pietro).
Dans ce passage on voit Vanina qui est dépassée par les événements comme elle le dit elle-même : « elle ne fut pas maîtresse de sa douleur… ». Elle aime Pietro et elle ne sait pas comment réagir face au comportement de celui-ci. Elle élabore des plans pour essayer de le reconquérir mais elle s’en dissuade. Alors elle est désespérée comme le narrateur nous l’explique : « un noir chagrin s’empara d’elle » et là aussi il y a une métaphore personnifiée pour rendre le chagrin vivant.
Ces deux sentiments confondus créent un désordre amoureux entre Pietro et Vanina. D’un coté Pietro s’engage pour sa patrie car il l’aime ce qui, du coup rend triste Vanina