Verlaine
Dans le cadre du cours de français, nous avons étudié plusieurs poèmes de Rimbaud et lu « Les garçon » de Deutsch qui s’inspire de sa vie. Tous cela nous a amené à un poème de Verlaine intitulé « L’angoisse ». Nous avons tenté de l’analyser en groupe. On a reconnu le but, son contenu, son écriture musicale et le forme du sonnet. Le contenu exprime la tragédie spirituelle de Verlaine, sa vie n’a pas de sens, comme on peut le voir, la nature ne l’émeut pas, il se moque de l’art, de l’homme, il ne crois pas en Dieu, et ne croit plus en l’amour, Verlaine est las de vivre, et a peur de la mort, en résumé son âme appareille pour d’affreux naufrage, Verlaine se moque de l’art donc de la poésie, doit – on penser qu’ il écrit a contre cœur serais – t – il hypocrite. Ici une grande incohérence est présente. Ce poème est un sonnet car il comprend 12 pieds donc on peut parler d’Alexandrin, 2 quatrains au début avec des rimes embrassé, et 2 tercets forme une rime plate et une rime croisée. La progression du poème est logique, il ne trouve rien au monde qui puisse l’intéressé, donc a la fin (progression logique) il est perdue. Le rythme musical est principalement lié à des constructions répétés, répétition de « ni », « de », « des », « je ». L’écho sonore présente dans «affreux naufrage » nous attire l’attention en repentant le son « fr » pour en faire quelque chose de frappant. En conclusion, le poème « L’angoisse » de Paul Verlaine que nous avons analysé est un sonnet. Sa chute est logique, le poème adopte un rythme musical basé sur les répétitions et les échos sonores. On remarque également une « grosse » contradiction ; comment un poète peut – il prétendre rien dans l’art. Pour nous, cette poésie fait ressortir l’idée d’un homme ne trouvant aucun chemin (trop « large » ? trop « étroit » ?). Privé de repère craignant la mort, lasse de vivre, Verlaine laisse envisager une vie sombrant dans l’alcool.