L’œuvre de Victor Hugo a été publiée en roman-feuilletons à partir de 1862 et lue par une grande majorité des français de son époque qui se retrouvaient des les différents personnages. Cette œuvre est ainsi devenue la plus populaire de la littérature française, c’est un roman historique philosophique et social.
Victor Hugo, engagé dans la lutte sociale y dénonce les conditions de vie des ses contemporains les plus défavorisés.
Il y dresse le portrait de plusieurs personnages accablés par la misère qui cherchent en vain à s’en sortir. Seule une enfant du nom de Cosette, née de la grande misère, grâce à son innocence et à sa bonté naturelle réussira à changer de classe sociale et portera à elle seule l’espoir pour toute la classe ouvrière.
Cosette née de mère célibataire avait été mise en pension par sa mère chez la famille des Thénardier. En effet à cause de la mentalité de l’époque une fille mère n’était pas digne de travailler en usine et sa mère a du cacher son existence.
Les Thénardier menaçaient sa mère de rejeter Cosette à la rue, ainsi elle devait donner toujours plus d’argent.
Les Thénardier gardait le secret sur Cosette et pour tous c’étaient de braves gens qui en plus de leur difficulté avait accueilli gratuitement une enfant chez eux.
En vérité la mère Thénardier et ses filles étaient très méchantes avec elle et Cossette devint à partir de 5 ans leur servante.
Elle faisait peine à voir tant elle était maigre, mal habillée avec de grands yeux toujours tristes.
Les gens du village l’avaient surnommée l’alouette car comme cet oiseau elle était maigre, tremblante, première levée et dernière couchée. Par contre l’alouette Cosette, elle ne chantait jamais !
Une chanson populaire française en raconte les mésaventures et comment les Thénardier plumaient l’alouette et sa