Violence scolaire
La violence sociale, c’est déprécier, dénigrer ou diminuer la personne. C’est aussi manipuler, faire perdre la confiance en soi, menacer, intimider.
Un enfant entend des propos méprisants :
«Tu ne fais jamais rien de bon!»
L’autre forme de violence comporte la notion sociale.
La violence sociale réfère à tout type de violence commise par des individus ou la communauté qui a un impact social. Ces actes violents prennent des formes variées, notamment les conflits armés, la violence de gang, l’agression physique parentale, le terrorisme et le déplacement forcé. La violence sociale s’exerce de manière sournoise et insidieuse par des gestes, des postures, des regards et des paroles dans le but de blesser ou de contrôler la personne sur le plan émotionnel. Souvent les victimes de cette type de violence sont les enfants de moins de 18 ans. Autrement dit, les sociétés occidentales sont de plus en plus confrontées à la violence chez les jeunes enfants et à des conduites relevant de l’agressivité, depuis les incivilités de plus en plus nombreuses jusqu’aux phénomènes de violence à l’école et dans les quartiers.
Cela ne signifie pas que la violence sociale concerne seulement les enfants. Ce sont les femmes, les homes et les personnes également. Pourtant, la nouvelle generation est particulièrement vulnérable à la violence sociale à cause de capacité limitée des enfants à réguler leur détresse psychologique, réduire la menace ou s’éloigner de la situation violente. ils sont susceptibles de vivre un stress severe et incontrôlable. En conséquence, ces réactions accroissent leur risque de développer des troubles de santé mentale (par ex., la dépression, l’anxiété et le trouble de stress post-traumatique), de faire face à des problèmes sociaux, et de s’engager dans