Vision mécaniste et rationaliste de l'homme au travail
A LA DECOUVERTE DE L’HUMAIN
Chapitre 1 : la vision mécaniste et rationaliste de l’entreprise et de l’homme au travail
Contexte :
Cette vision mécaniste et rationaliste est née à la fin du 19ème siècle et début du 20ème siècle et a marqué les mentalités et politiques de ressources humaines d’aujourd’hui. C’est aujourd’hui une réalité.
Naissance du capitalisme moderne gràce à la 2ème révolution industrielle. C’est là que les grandes entreprises commencent à se développer (+500 salariés) = concentration du capital technique qui impose de la part des patrons d’embaucher un grand nombre d’ouvriers dans un contexte de rareté de la main d’œuvre.
Pour y faire face, on constate qu’il y a un fort exode rural (paysans) et migratoire.
Contraintes :
Besoin de donner rapidement aux paysans une qualification qui exige de la discipline…., on doit éduquer cette mian d’œuvre.
Il faut aussi la fidéliser car il ya une rareté de la main d’œuvre (selon Rostow : phase de démarrage de la croissance)
Tout est à reconstruire y compris la gestion de la main d’œuvre car aucune législation du travail n’est institutionnalisée.
Rapport Villermé (docteur 1838) « conditions de vie des ouvriers » : c’est le 1er rapport officiel qui va mettre en valeur les mauvaises conditions de travail.
A la suite de cela, entre autre, mise en placed’un début de législation. On se rend compte que la manière de gérer les ouvriers peut avoir une incidence sur leur productivité. Il n’y a pas de politique de gestion de main d’œuvre parfaitement identifiée. Les seules que l’on pourrait démonbrer se sont les politiques paternalistes par les chefs d’entreprise pour un bien être absolu à l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise. Il y a donc un contrôle de la vie de l’ouvrier « du berceau jusqu’à la tombe ».
Comment ? en multipliant les politiques d’oeuvre sociale en les indemnisant par exemple en cas de maladie ou accident du travail ou en versant des fonds de pension ou bien en