Dans les livres et ,le récit de voyage est avant tout une quête identitaire qui fait du voyage l’objet principal du récit.
Le déplacement dans l’espace n’est que le voyage intérieur. En effet, tout au long du voyage, le voyageur oscille entre construction et son inverse. Dans l’imaginaire commun les voyages permettent une auto-construction (identitaire…). On retrouve cette idée d’apprentissage par le déplacement dans ces phrases de M. Proust « La vie est un voyage » et de N. Bouvier « ...c'est le voyage qui vous fait, ou vous défait ». La mobilité a contribué à l’humanisation de l’homme, elle lui a permis de Connaître, car si l’individu ne voulait pas ou s’il n’était pas déterminé à commencer de se mouvoir, il ne connaîtrait rien. Si rien ne lui résistait, il ne connaîtrait rien non plus, il ne soupçonnerait aucune existence, il n’aurait même pas d’idée de la sienne propre .On trouve cette idée dans les voyages des trois livres.
L’auteurs présentent les héros qui manquent d’identité et qui ont le trait commun.Ici nous interrogeons pourquoi l’homme s’est mis en marche? Quelles ont ses motivations et quelles découvertes ont-elles entraîné ? Sindbad, après dissiper la meilleure partie des biens hérités,il se souvient la parole de son père: ,donc il part aux îles lointaines pour faire marchandise et faire fortune. Dès lors que le marchand revient des îles lointaines, le goût du voyage ne le quitte plus. Il n'a qu'une envie : repartir. Il devient Sindhad le marin. Sindbad est aux aventures merveilleuses, qui affronte les oiseaux et les serpents géants, échappe aux cyclopes et aux cannibales, qui est enterré vivant et sur les eaux de la rivière noire.... Après sept voyages au cours desquels il brave mille dangers et faillit perdre autant de fois la vie, il revient en Perse, immensément riche.
Dans les voyages de Sindbad,il y a une remise en jeu qui toujours revient à l’ état premier. Le désir du repartir pour voir le monde au contrainte de