Warmi étude de cas management
Analyse du contexte : 1) La finalité d’une entreprise correspond à la raison d’être de l’entreprise, c'est-à-dire l’idée qu’elle se fait de son existence. Elle ne se réduit pas à la seule recherche du profit.
La finalité de l’entreprise Warmi repose sur la sauvegarde et le développement de la culture artisanale de Colombie d’une part et, la création d’emplois pour des femmes qui ne sont pas forcément diplômés. Sylvia Toth partage la vision de Peter Drucker qui affirme que la recherche du profit n’est pas une fin en soi et qu’il faut aussi prendre en compte les impacts environnementaux et sociaux.
2) Les organismes tels que l’ « Union des Couveuses de France » et les « Ateliers de Paris » permettent un soutien au développement d’une entreprise, dans le cas présent, auprès de l’organisation Warmi. L’ « Union des Couveuses de France » a permit à la dirigeante, Sylvia Toth de pouvoir soumettre et essayer son projet sur le marché. Mais aussi, de bénéficier d’un accompagnement au travers d’une formation de dirigeant d’entreprise.
Les « Ateliers de Paris » est un incubateur. C’est une structure qui va venir complémenter par des connaissances, des outils et le partage de son environnement un projet innovant, afin d’en faire une organisation performante.
Dans le cas des « Ateliers de Paris », c’est le pôle économique qui va être soutenu par des dispositifs permettant de « soulager » la porteuse de projet sur le plan financier.
Ces organismes sont donc un moyen de minimiser la prise de risque des entrepreneurs et d’assurer la pérennité de l’entreprise.
3) La notion de responsabilité sociétale des entreprises renvoie à la prise en compte des impacts environnementaux et sociaux. Ainsi, l’entreprise est amenée à satisfaire au mieux les besoins des consommateurs, à améliorer le climat social à préserver l’environnement.
Chez Warmi, la dirigeante tient à privilégiés ses origines et est soucieuse du développement de son pays et