XIX Paper Une Sainte
FRE 303-01
XIXe siècle
La vie d’une sainte
En lisant Boule de Suif de Maupassant et Un Cœur Simple de Flaubert j’ai développé des sentiments de compassion envers les personnages principaux — Élisabeth Rousset et Félicité. C’est évident qu’elles partagent des caractéristiques similaires comme servir les autres, la fidélité et aux maltraité par les autres. Ces caractéristiques jouent un rôle très important, mais il y a quelque chose qui est plus important pour moi. Chaque femme vit une vie dure et il n’y a personne qui choisirait une vie comme ça. Quand nous considérons une vie qui est plus pénible que la nôtre, cela référer à la majorité des gens qui est plus pauvre que nous ou qui est infortuné. L’idée d’avoir une vie dure ainsi que les caractéristiques d’Élisabeth Rousset et Félicité décrit leurs vies d’être comme les vies des saints. Ça peut être ridicule de dire qu’elles ont des vies des saintes, mais pendant le XIXe siècle ce n’est pas anormal de comparer quelqu’un à un saint, surtout pour Flaubert. Donc, comment est-il possible pour une domestique et une courtisane d’être des saintes ? Avant d’explorer comment elles sont des saintes c’est nécessaire de comprendre ce que ça veut dire d’être un saint et comment quelqu’un devient un saint. Un saint est quelqu’un en qui nous pouvons apercevoir l’esprit de Dieu. C’est une personne qui vit selon les lois données par Dieu et qui suit une vie exemplaire avec la morale ou la religion.1 Le plus souvent, ce sont des gens qui mettent les besoins des autres avant eux-mêmes et ils subissent des épreuves et des tribulations à cause de leurs croyances. Donc la souffrance, l’injustice, et parfois le supplice sont les aspects à leurs vies. La canonisation, ou le procédé de devenir un saint, prend longtemps quelquefois plus de cinq ans. Ça prend du temps d’analyser les miracles et les actions extraordinaires qui prouver que quelqu’un est digne d’être un saint. Pour être considéré comme un saint, il doit y