Zola
1. Le condamné est amené au palais de justice, où il peut écrire en attendant son exécution. Il est 10 heure du matin et plus l’heure de son exécution approche plus il est terrorisé du fait qu’il va être guillotiné dans les six prochaines heures, au point où il n’arrive plus à écrire ce nom.
2. Marie sera orpheline dans moins de six heures à cause de la terrible guillotine. 3. Dans ce passage il y plusieurs indications temporelles qui sont précis : « il est 10 heure » ; « encore 6 heure ». Pour une fois dans le roman nous avons l’heure exacte, car au début du livre le temps était flou (pas de marques temporelles) car le condamné lui-même ne connaissait ni l’heure ni la date de son exécution. Ces indications temporelles accentue la mise a mort du condamné cela a pour effet un compte à rebours.
4. Le condamné se parle à lui-même, première personne du singulier à l’indicatif présent, c’est un monologue intérieur et cela permet au lecteur de s’identifier au narrateur (de ressentir ses sentiment et ses idées). De cette manière Hugo nous rend sensible contre la peine de mort car nous éprouvons de la pitié pour ce condamné.
5. Le condamné a peur de ce qui va arriver à sa petite fille, il s’interroge beaucoup sur son avenir : « comment te déshabitueras- tu, malheureuse orpheline , de boire et de manger », « tu auras honte et horreur de moi » ,ce sont des question rhétorique. On peut aussi voire qu’il est angoissé a l’idée de la mort : il y a beaucoup de point d’exclamation (ponctuation forte) + des interjections : ô ma pauvre petite fille ! » et il y a beaucoup de répétition du « moi » qui indique une obsession pas la mort.
6. Dans cet extrait Hugo donne plusieurs arguments pour qu’on abolisse la peine de mort. Premièrement il explique qu’on enlèvera la vie à un père de famille, ce qui à l’époque était grave puisque les père de famille étaient les seuls à travailler donc les tuer enlèvera la richesse de leur famille ;