commentaire les vrilles de la vigne
Notre monde actuel est un monde de changement climatique où les saisons se chamboulent et ne se ressemblent plus, un mode dans lequel ces changements se reflètent parfaitement dans les différentes catégories de la population. La vision des saisons d'autres siècle,par exemple comme celle de Colette dans le texte “printemps de la riviera” dans le recueil les vrilles de la vigne publié en 1908 s'avère particulièrement intéressante, …afficher plus de contenu…
Ces stimulations sont absentes de ce paysage qui n’est pour l'auteur que poudre aux yeux, tout cette nature en paraît comme dépourvue, plus particulièrement d’odeur. Elle qualifie tout ce qu’elle peut sentir de “banal parfum” ou de "narines ouvertes (...) qui n’a point ici sa récompense”. Tout particulièrement de l"extrait suivant “ Mon âmeforestière quémande ici l'odeur même de la terre la souveraine odeur du sol vivant, fertil, humide…” on comprend qu’elle juge ce sol et par cela dans un synecdoque toute la nature printanière niçoise comme en manque de vie, notamment par les trois adjectifs énumérer sur un rythme ternaire “vivant fertil humide…” elle n’est pas vraiment vivant car elle ne possède pas cette …afficher plus de contenu…
Le passage “l’odeur de la terre” étant rappelé à l’évocation de la bourgogne via “le parfum de la terre” souligne l'importance de cette information olfactive de la terre aux yeux (ou au nez peut-être), de
Colette surtout dans son souvenir de sa région bourguignonne. Enfin Colette marque clairement sa préférence quand elle écrit “le pays que j’aime” ayant ici pour signification la Bourgogne et non pas le pays de nice, elle finit ainsi son apologie nostalgique du “vrai “ printemps. On peut comprendre,