L'avortement en france
- si la grossesse met sa vie en danger.
- si la santé du foetus est mise en danger.
- si la santé mentale de la mere est incertaine.
- en cas de viol, mais seulement dans les trois premiers mois de grossesse.
- si le foetus aura un défaut mental ou physique.
- pour les raisons sociales, par exemple, l’âge ou la situation financière de la mère, mais seulement dans les trois premiers mois de la grossesse.
- ou simplement sur demande de la mère, sans raisons données, mais seulement dans le premier trimestre de la grossesse.
Les lois de réglementation de l’avortement en France ont commencé à changer qu’au XIXème siècle. Avant cette période l’avortement est généralement interdit, mais en 1920 adopte le gouvernement français une loi qui “reprime la provocation à l’avortement et la propagande anticonceptionnelle”. C’est à dire que l’avortement sera puni, ainsi que l’utilisation de ce qu’on appelle aujourd’hui la contraception. En 1942, l’avortement est proclamé un crime contre la sûreté de l’Etat et mérite donc la peine de mort.
La loi Veil changera tout, promulguée en 1975, elle permet l’avortement sous certaines conditions. La loi Neuwirth légalisera la contraception depuis 1972. En 1982, l’IVG est remboursée par la Sécurité sociale. Depuis 1975, il n’y aura que des progrès par rapport a l’avortement, qui améneront eventuellement aux droits qu’ont les femmes aujourd’hui, mais il y aura toujours des