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L'enfer dans l'antiquité c'est quoi ?

1650 mots 7 pages
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La vie après la mort sous l'antiquité grecque.Que se passe t-il après la mort ? Dans toutes les civilisations la mort a fait l'objet de l'instauration d'un culte religieux.Pour beaucoup, la mort n'est pas une fin, mais un passage dans un autre monde.Cette idée peut être rassurante, mais elle a aussi pour but de donner une ligne de conduite aux vivants car après la morts les méchants sont châtiés et les bons récompensés. Chez les grecs anciens, les funérailles se déroulaient la nuit pour ne pas déranger les dieux. Elles s'accompagnaient d'une procession de la famille et de pleureuses jusqu'à l'inhumation du défunt.Avant de l'enterrer ou de l'incinérer, on plaçait une pièce dans la bouche du mort.La famille lui rendait un culte en faisant des sacrifices sur l'autel du foyer à des dates anniversaires, ou en versant des aliments dans un orifice de la pierre tombale.Un culte bien fait empêchait que le fantôme du défunt vienne tourmenter les vivants, ou que les dieux punissent la famille fautive.Après sa mise au tombeau, l'âme est conduite parHermèsjusqu'à l'entrée duroyaume des morts,l'Enfer, oul'Hadès.L'idée populaire était que l'âme demeurait àHadèsmais qu'un double restait prés de la famille...L’âme du défunt entreprend un long voyage.A leur mort les âmes des défunts sont guidées parhermèsvers l'entrée des enfers.Hermès prend en charge le défunt dés sa mort, il doit convaincre l'âme d'entreprendre ce long voyage sans retour.Il les guide à travers les crevasses et les précipice sans fond et les laisse devant le fleuveStyx(ou Achéron suivant les sources) la frontière entre les deux mondes.

Parmis toutes les fonctions qui lui sont attribuent, Hermès est un dieu psychopompe, c'est à dire qu'il guide les âmes vers l'enfer. Il sert aussi de messager entre le ciel et l'enfer. La plupart des religions ont leur divinité psychopompe: Gagnes dans l'hindouisme, Anubis en Egytpte, les Walkyriees qui guident les mort vers le walhalla et l'archange saint Michel dans la

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    C’est ce que nous montrerons dans ce devoir, en insistant donc sur ce que la présence de la mort au sein de l’Odyssée nous apprend de la définition grecque de l’humain et de la vie, et du caractère d’Ulysse. Le voyage de retour d’Ulysse à Ithaque le place en confrontation directe avec la mort. Parfois, c’est la tempête qui lui vaut le naufrage de ses hommes d’équipage, parfois c’est l’ivresse qui fait qu’Elpénor chute du toit de Circé, souvent, ce sont ces opposants directs que constituent les morts qui font régner une atmosphère morbide autour du nostos. Charybde et Scylla engloutissent tour à tour les camarades d’Ulysse, épargnant le chef de la flotte, pourtant proie facile perché sur la proue de son navire.….

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    » (v. 12-14). Nous voyons facilement que la mort est pour Nelligan, sans pitié, et qu’une partie de lui se fait dépouiller sans son accord. De son côté, le poème de Saint-Denys Garneau, donne une impression plus douce à la mort, elle nous parait comme faisant partie du destin : « Il ne pourra s’en aller/ Qu’après avoir tout mangé/ Mon cœur/….

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