constamment arraché à l'infra-dialectique permantente de la co¨incidence avec soi.
Ce qu'il faut pouvoir penser, c'est l'existant qui ne devient pas cette identité du sujet et de l'object sans aucune médiation,
(a expliquer) dont Fichte avait parlé, identité qui serait à la fois le sujet et le prooduit de l'acte, le sujet agissant et le fait même de l'action.
(a expliquer)

après lui. Jaspers rejette toute ontologie dans le domaine de la démonstration de l'existence, mais il pratique aussi une métaphysique et emploie une méthode assez libre." grande méfiance à l'égard de la philosophie, si philosophie est synonyme su pouvoir du'aurait l'esprit de s'autodéterminer comme sujet-object
Moi= moi métaphysique, ou encore fondement. exprime une grande méfiance à l'égard de la philosophie, si philosophie est synonyme du pouvoir qu'aurait l'esprit de s'autodéterminer comme sujet-object.
L'existence de l'écrivain-philosophe du XIXés soustendait, quoi qu'il en soit des dissimulations et des travestissements, sa stratégie éditoriale. Jamais sans doute l'oeuvre et la vie ne s'étaient à ce point rejointes pour constituer, des oeuvres de pensée.
Des pensée et non d'imagination pure, car, si la philosophie est concernée, un remodelage du language qui soit d'un autre type que celui du poète est requis, s'il entend produire des schèmes de pensée. L'appel aux tonalités affectives_ aux aléas de la liberté, aux conditions concrètes de la vie quotidienne, du travail, de la vie sociale_ va de pair avec la descrpition de ce que Jaspers devait appeler des situations-limites.

et un marxisme fortement teinté d'existentialisme (Henri Lefebre)
Estimer, dans l'historicité du présent vivant, les risques de la communication, c'est s'engager à parcourir les différents stades ou, sur le chemin de la vie, il peut arriver que les hommes et les cultures dialoguent au sujet du divin, du sacré ou du saint, de l'historie et de ses impasses.
Ces déterminations intermédiaires sont