L'homme qui plantait des arbres
Vers avril, les élèves en 12e année commenceront à soumettre leurs applications aux différents programmes d’éducation après l’école secondaire. Quelques-uns soumettront leurs applications pour étudier les mathématiques à l’université, quelques uns auront les plans pour entrer le collège pour devenir animateur ou animatrice, et certains voudront aider les autres par devenir plombier. Il y a des millions des options pour compléter d’extra éducation pour les tas des intérêts spécialisés et c’est à l’individuel à choisir comment il veut vivre. Aucun choix n’est plus correct que les autres. Pendant que certains sont heureux avec les vies simples et d’autres qui sont en harmonie avec la nature, il y a encore certains qui ne croient pas en vivre comme cela L’œuvre écrit par Jean Giono, L’homme qui plantait des arbres, démontre quelques différents styles de vies qui incorporent la nature, et comment certains aiment et fonctionnent mieux dans ce style que les autres. Par exemple, nous rencontrons un berger qui s’appelait Elzéard Bouffier. Il aimait faire seulement quelques petites tâches chaque jour et il vivait une vie très simple. Son ambition de vie était de planter une forêt, et il ne parlait jamais à personne donc il n’y a jamais le drame ou les problèmes avec ses relations avec les autres personnes. Il vivait seulement avec les animaux et ses arbres, mais quand même il était tellement content avec son style de vitalité.
Finalement, le narrateur nous laisse savoir qu’il y avait les habitants dans les villages proches. Les hommes étaient les bucherons et faisaient de la chasse pour manger. Tout le monde n’avait pas un emploi exact donc ils avaient probablement des vies simples. Cependant, ils ne sont pas contents de tout. Les habitants se sont tués, par la folie ou sinon, le suicide, et d’autres causes malheureuses. La raison que le village ne